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Sur les airs des Beatles

A l’occasion de l’ouverture du Signe – Centre National du Graphisme, Les Rabeats sont en concert gratuit samedi 8 octobre, à 21h place de l'hôtel de ville. Avec plus de 1000 concerts à leur actif, et ayant conquis plus d’un million de spectateurs à travers le monde, les Rabeats sont incontournables. Indéniablement, LE Tribute Band à ne pas manquer !

Là où d’autres sont dans la copie, les RABEATS donnent une incroyable interprétation de la musique des Beatles. Leur notoriété est installée, la presse et les médias les encensent, le public de plus en plus nombreux, jeune et unanime. Aucun hommage aux Beatles n’a créé un tel engouement c’est ce qu’on appelle la RABEATS MANIA ! De très belles salles en perspective : Zénith d’Orléans, Zénith de Lille, Zénith de Montpellier, Zénith de Rouen, le Palais de Sports de Paris en juin 2015…. Et le 8 octobre, à Chaumont !

Autour de ce concert….
20h : Eau forte par la Compagnie Sound Track – Au Nouveau Relax (lieu mis à jour)
Duo performance d’improvisation visuelle et sonore
de Patricia Dallio et Mathieu Sanchez

Eau Forte est une sorte de cinéma brut et archaïque, celui des origines, celui d'avant le cinéma où des tableaux extatiques émergent du noir, puis brûlent dans la lumière imprégnée d'interstices sonores

« Patricia Dallio et Mathieu Sanchez sont, ici, des marionnettistes et des illusionnistes. Les ficelles de la compositrice harnachée propulsent sa musique dans l’espace, enveloppant les spectateurs dans un nuage de sons inouïs, tandis que la lanterne magique du plasticien projette sur l’écran un monde lilliputien dont nous pénétrons la matière en explorateurs de l’atome. Eau Forte ressemble à une aventure des Avengers de Stan Lee dessinée par Hetzel, l’auteur des gravures des livres de Jules Verne, mais dont la kitscherie hollywoodienne serait remplacée par une immersion vertigineuse dans notre siècle. »
Jean-Jacques Birgé, compositeur

« Un lent voyage sonore et visuel dans un monde imaginaire fantastique en mouvement perpétuel, un monde organique sensible toujours à la limite de l’intelligible qui réveille des souvenirs individuels et collectifs, des formes extravagantes qui nous font cheminer dans les tréfonds de nos inconscients. »
Antoine Schmitt, plasticien programmeur